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Démarche RSE : quels intérêts ?

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Pour certaines entreprises, mettre en place une démarche RSE peut être vu comme une énième contrainte. Pourtant, adopter une Responsabilité Sociétale et Environnementale répond à de nombreux enjeux qui peuvent toucher à la fois les salariés mais aussi les clients. Explications.

A quoi sert le fait de mettre en œuvre une démarche RSE au sein de son entreprise ?

La mise en place d’une stratégie RSE apporte une réponse à des problèmes touchant à l’environnement et aux conditions de travail.

Cela fait forcément écho chez de nombreux salariés, tout simplement parce que le monde du travail évolue et que beaucoup de personnes veulent trouver un sens à ce qu’ils font. Or, nous passons généralement plus de temps au travail que dans nos foyers et il est donc important que l’entreprise réponde à des questionnements que l’on se pose vis-à-vis de la protection de l’environnement mais aussi des conditions dans lesquelles sont effectuées des tâches professionnelles.

L’image de la structure est valorisée auprès des clients, des fournisseurs et des partenaires ; voire de financeurs quand une telle stratégie est mise en place et en lumière par le biais d’une communication efficace.

On peut par exemple lutter contre la pollution en mettant des cendriers de recyclage de mégots quand on se sait que l’on a des salariés qui fument ou que les clients profitent de leur visite pour fumer à l’extérieur des locaux.

Cela n’est pourtant qu’un exemple parmi tant d’autres, qui ne sont pas très difficiles à mettre en œuvre et qui peuvent pourtant avoir un impact retentissant sur l’image que renvoie l’entreprise à autrui.

Une entreprise qui séduit par ses valeurs et ses engagements peut espérer que cela impacte positivement sa croissance. Cela peut lui permettre de se démarquer vis-à-vis aussi de sa concurrence.

Quelles sont les actions à mettre en place lors de sa stratégie RSE ?

Faire des économies substantielles en limitant l’utilisation du papier, en triant ses déchets pour diminuer le gaspillage : il s’agit pour certains de nouveaux gestes, d’une nouvelle routine à adopter, mais est-ce pour autant difficile ? On estime qu’il faut en moyenne deux mois seulement pour changer une habitude.

Cela peut être plus rapide surtout si les acteurs impliqués croient réellement en ce qu’ils font. Il est donc nécessaire d’impliquer les salariés. Le mieux sans doute étant de leur demander s’ils ont des idées en la matière. Les chefs d’entreprise pourraient être surpris de la foule de réponses qui vont leur être données : passer aux énergies renouvelables, changer le véhicule professionnel pour un modèle électrique, prendre du matériel informatique reconditionné…

Forts de ces éléments, les chefs d’entreprise peuvent choisir plusieurs idées la première année pour les tester. Il y a fort à parier qu’ils verront que la démarche RSE ; et cela commence à être prouvé ; a une incidence sur la productivité car les collaborateurs se sentent plus impliqués dans une entreprise qui correspond à leurs valeurs personnelles.

Travailler dans une structure qui a les mêmes valeurs pousse en effet les salariés à donner le meilleur d’eux-mêmes et surtout, on évite un phénomène de plus en plus croissant dans certains secteurs d’activité : le turn-over.

Le coût que représente le fait de former de nouveaux collaborateurs ; sans être pour autant certains qu’ils vont rester ; n’est pas négligeable. Cela (et bien d’autres choses) pourrait changer en mettant en place une stratégie RSE.

Elle n’est donc pas une contrainte de plus, mais une opportunité de changement, pour le meilleur, pourrait-on dire, sans que cela suppose pour autant un coût de mise en place trop important, en fonction des décisions prises.

Centres d’appels : comment ils façonnent l’expérience client moderne

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Les centres d’appels sont un pilier essentiel de l’expérience client moderne. Ils façonnent la perception de la marque et jouent un rôle vital dans la satisfaction et la fidélisation des clients, en utilisant des technologies avancées pour offrir un service personnalisé et multicanal.

Les missions d’un centre d’appel

Au cœur de leurs activités, ces centres visent à offrir un service clientèle de qualité, en répondant efficacement aux demandes et aux préoccupations des clients.

Assistance et support client

La fonction principale d’un centre d’appel est de répondre aux demandes des clients, qu’il s’agisse de questions sur les produits ou services, de problèmes techniques, ou de requêtes générales. Dans de nombreux secteurs, les centres d’appels fournissent également un soutien technique, aidant les clients à résoudre des problèmes spécifiques liés à l’utilisation d’un produit ou d’un service.

Gestion des Relations Clients (GRC)

Les centres d’appels jouent un rôle clé dans la personnalisation des interactions avec les clients, en utilisant les données collectées pour offrir des réponses et des solutions adaptées à chaque client. Par leur service, les centres d’appels contribuent à la fidélisation des clients et à l’amélioration de leur satisfaction globale, deux éléments essentiels pour la pérennité et la croissance de l’entreprise.

Ventes et marketing

Les call center peuvent également avoir un rôle actif dans les ventes et le marketing, en informant les clients sur les nouveaux produits, les offres spéciales, ou en effectuant des ventes croisées et incitatives. Ils sont aussi un point de collecte d’informations précieuses sur les préférences et comportements des clients, utiles pour orienter les stratégies marketing.

Feedback et amélioration continue

Un aspect important est la collecte de retours d’expérience de la part des clients, permettant à l’entreprise de s’adapter et d’améliorer continuellement ses produits et services. Les call center analysent les interactions clients pour générer des rapports détaillés, aidant l’entreprise à comprendre les tendances, les enjeux et les opportunités d’amélioration.

Le rôle des centres d’appels

Les centres d’appels jouent un rôle crucial dans la façonnage de l’expérience client moderne, étant souvent le premier point de contact entre une entreprise et ses clients. Dans un monde de plus en plus axé sur le service, ils représentent un élément clé de la stratégie de relation client des entreprises. Premièrement, les centres d’appels offrent un support direct et personnalisé, permettant de répondre rapidement et efficacement aux questions ou préoccupations des clients. Cette interaction directe contribue à renforcer la confiance et la fidélité des clients envers une marque.

De plus, avec l’avancée des technologies comme l’intelligence artificielle et l’analyse des données, les centres d’appels modernes peuvent offrir des expériences hautement personnalisées. Ils sont capables de collecter et d’analyser les données des clients pour mieux comprendre leurs besoins et préférences, ce qui permet aux agents de fournir des solutions plus ciblées et pertinentes. Par exemple, l’utilisation des systèmes CRM (Customer Relationship Management) permet aux agents d’avoir accès à l’historique complet des interactions d’un client, assurant ainsi un service cohérent et informé.

Des services plus variés et plus ciblés

Les centres d’appels ne se limitent plus aux appels téléphoniques traditionnels. Ils intègrent désormais d’autres canaux de communication tels que le chat en ligne, les médias sociaux, et l’email, offrant ainsi aux clients une multitude de moyens pour interagir avec les entreprises selon leurs préférences. Cette approche multicanale contribue à une expérience client plus flexible et accessible.

Cependant, les défis subsistent, notamment en termes de gestion de la qualité du service et de la formation des agents. Un service client incohérent ou insatisfaisant peut rapidement nuire à la réputation d’une entreprise. Les centres d’appels doivent donc continuellement s’adapter et évoluer pour répondre aux attentes croissantes des clients en matière de service.

Quelle surveillance après une mastectomie ?

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L’ablation d’un sein et le traitement (radiothérapie, le plus souvent) sont les actes recommandés lors d’un diagnostic de cancer du sein.

Cela ne signifie pas qu’il faut, pour autant, arrêter de surveiller cette zone et l’autre sein. Explications.

Suites d’une mastectomie, comment ça se passe ?

Le risque de récidive après un cancer du sein est toujours possible même si tout est fait notamment grâce à la mastectomie et le traitement en parallèle pour le limiter.

C’est d’ailleurs pour savoir à quel type de cancer ils doivent apporter solution que les médecins procèdent à une biopsie des tissus malades mais aussi d’autres examens, afin de les localiser, dans un premier temps, mais aussi d’en percevoir l’étendue pour pouvoir toutes les éliminer, lors de l’opération.

Dans un premier temps, quand l’opération est finie, la patiente doit porter un soutien-gorge qui a pour vocation de maintenir les seins.

En effet, la reconstruction mammaire permet à la femme de continuer à avoir deux seins. Pour cela, un chirurgien esthétique utilise ses tissus pour procéder à la reconstruction. Par la suite, elle pourra prendre un soutien-gorge post-mastectomie, si elle éprouve encore un certain niveau de sensibilité.

La reconstruction n’est pas toujours possible ou souhaitée mais il existe des alternatives en le fait de laisser la poitrine plate ; où le sein malade avait sa place ; ou encore d’opter pour une prothèse en silicone.

Dans tous les cas, il est possible de trouver de la lingerie spécifique, y compris des maillots de bain avec une poche en tissu. Cette dernière a pour but d’insérer sa prothèse, sans qu’elle bouge, y compris dans les mouvements amples ; ce qui peut arriver quand la femme reprend une activité sportive. Cela est recommandé, d’autant que pour favoriser la cicatrisation, il y a un laps de temps pendant lequel elle ne peut pas bouger les bras.

Le personnel soignant dans un premier temps, puis ensuite la patiente elle-même, examinent et prodiguent les premiers soins de la cicatrice pour l’évacuation de la lymphe, mais aussi éviter l’apparition d’œdèmes.
Les bleus sont une suite logique de l’opération et peuvent s’étendre jusqu’aux bras, en fonction du type de cancer et de son étendue. Il faut parfois procéder à ce que l’on appelle un curage axillaire ; s’étendant comme on peut le comprendre jusque dessous le bras.

Récidive, guérison du cancer du sein : ce qu’il faut retenir

Il est conseillé de faire toutes les sessions de radiothérapie ou de chimiothérapie, selon le protocole médical qui a été mis en place.

Pourtant, beaucoup de femmes, au vu des effets secondaires, préfèrent arrêter avant, quand elles se sentent mieux. Il est difficile en effet, de supporter les nausées ou encore le fait de perdre ses cheveux et ses sourcils. Il faut pourtant aller jusqu’au terme, afin, justement de limiter le risque de récidive qui peut arriver quelques années plus tard.

Un examen régulier du sein restant et du thorax en général est préconisé pour voir le cancer n’apparait pas ailleurs.

Cela peut se faire par le biais d’une mammographie, comme doivent en faire les femmes à partir de 50 ans, une fois par an (cet examen préventif peut être effectué avant, s’il y a des antécédents de maladie dans la famille), mais aussi un scanner ou une IRM.

Pour se rassurer, la patiente, déjà confrontée à un cancer du sein, peut prendre l’habitude de procéder à une autopalpation de son sein restant, afin de pouvoir programmer un rendez-vous avec son médecin généraliste ou une gynécologue en cas de doute. Ce professionnel de santé confirmera ou infirmera s’il faut programmer un examen de dépistage potentiel.

 

Déperdition thermique : faut-il changer les fenêtres ?

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Aucune personne ne veut vivre dans un logement énergivore. Cela suppose un inconfort au quotidien et surtout ; même si le premier point suffit pour rendre la situation tout à fait désagréable ; des factures énergétiques très élevées et cela sans résultat. Est-ce que cela pourrait changer en changeant les fenêtres de l’appartement ou de la maison ?

Les fenêtres sont-elles responsables des déperditions de chaleur ?

En premier lieu, il s’agit de faire réaliser un diagnostic thermique pour déterminer les endroits où ont lieu les déperditions de chaleur. Elles peuvent venir de bien des endroits, mais on a tendance à incriminer en première instance la toiture.

En effet, mal isolée ou pas du tout, elle est responsable de 30% des pertes de chaleur, car cette dernière monte et est aspirée par le haut, passant par tous les interstices si aucune isolation n’a été réalisée ou si elle est insuffisante. Cela sera souvent le cas dans une habitation ancienne.

Mais les fenêtres ne sont pas en reste puisque l’on peut leur imputer jusqu’à 20% de ces déperditions, à cause d’un vitrage mal choisi, d’un cadre qui n’est plus en bon état ou encore d’une mauvaise pose.

Cette dernière, que beaucoup de particuliers font eux-mêmes pensant réaliser de substantielles économies, laisse passer les courants d’air et l’eau de pluie, faute de connaissance à ce sujet, même si les fenêtres ou les portes sont très performantes.

Comment choisir ses fenêtres pour avoir bien chaud chez soi ?

Il existe différents coefficients qui permettent de se faire une idée de la performance des fenêtres. Les fabricants les font en différents niveaux parce que les besoins ne sont pas identiques partout.

On a plus besoin de chaleur en hiver dans le Nord de la France qu’au Sud, par exemple, tout comme le classement AEV (Air, Eau, Vent) n’est pas identique en fonction des régions pour les mêmes raisons.

Ces coefficients peuvent porter sur le cadre de la fenêtre uniquement, le vitrage ou les deux ; ce qui sera toujours préférable.

Le choix du double ou triple vitrage se fait en regardant l’orientation de la fenêtre, notamment, mais aussi la rigueur des hivers et donc la zone géographique de résidence.

Désormais, en matière de performances thermiques, tous les matériaux sont égaux s’ils sont à rupture de pont thermique, ce dont il faut bien sûr s’assurer auprès du professionnel.

En changeant ses fenêtres, on peut donc être assuré d’un meilleur confort de vie, mais cela peut également contribuer à embellir un intérieur et un extérieur, puisque les fenêtres sont visibles sur la façade et les pignons. C’est notamment pour cela que le matériau et la couleur sont aussi importants.

Il ne faut cependant pas oublier ; tout occupés à vouloir mieux isoler sa maison ; que les fenêtres ne remplissent pas uniquement ce rôle.

Elles peuvent apporter plus de luminosité si on remplace une petite fenêtre par une plus grande ; voire par une porte-fenêtre ou une baie vitrée, ou encore lutter contre le bruit extérieur avec un vitrage spécifique.

Salarié qui refuse de travailler : que faire ?

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Les relations entre salarié et patron sont primordiales pour que l’entreprise coule des jours heureux et de productivité. Malheureusement, des situations de tension peuvent surgir : le refus de travailler. Comment un patron doit-il réagir face à un salarié qui refuse catégoriquement de se présenter au travail et d’effectuer les tâches qui lui sont demandées ?

Catégoriser les raisons du refus de travail de la part d’un salarié

Un refus de travail autorisé : le droit de retrait

Afin de baliser le cadre légal et de connaître les diverses solutions qui s’ouvrent au patron, il est primordial de délimiter les raisons du refus en fonction du contrat du salarié.

D’une part, il est nécessaire de savoir que, quel que ce soit le contrat qui rattache le salarié et l’entreprise, ce premier dispose d’un « droit d’alerte et de retrait. » Un salarié peut jouir de ce droit en situation de « danger grave ou imminent pour sa vie ou sa santé » ressenti ou la mise en danger d’autrui. Il peut alors quitter son poste ou ne pas se présenter en vertu de ce droit, et ce, sans accord ou non de son patron.

Le motif de danger ressenti, qu’il soit individuel ou collectif, qu’il soit immédiat ou à long terme, est donc un motif légal pour refuser d’effectuer un travail. Le salarié n’a pas à prouver ce danger.

D’autre part, d’autres cas spécifiques offrent un droit de refus comme des conditions de santé (constat d’inaptitude apporté par le médecin du travail) ou encore une infraction de la loi nécessaire pour la tâche à effectuer.

Des refus de travail non autorisés

Outre ce droit de retrait, il peut se produire des situations où un salarié refuse d’exercer son travail sans motif précis ou pour d’autres motifs qu’un danger ressenti. En vertu du contrat qui lie employé et employeur, le salarié doit effectuer les tâches demandées si ces dernières correspondent à ses fonctions déterminées dans le contrat.

En revanche, le salarié peut refuser d’effectuer une tâche si celle-ci ne fait pas partie de ces fonctions. Il s’agit d’un refus légitime, même s’il a accepté d’effectuer cette tâche auparavant. La demande de travail qui dépasse les fonctions déterminées dans le contrat est une modification du contrat de travail. Le refus est possible en vertu d’un arrêt de la Cour de cassation du 18 mars 2022 (18-21 700).

Les solutions en cas de refus de travail de la part d’un salarié

Faire face à un droit de retrait

Le droit de retrait est un droit dont peut jouir un salarié. Si un employé fait savoir par écrit ou à l’oral qu’il refuse de travailler en raison d’un danger ressenti, en aucun cas un retrait de salaire n’est autorisé ou toute autre forme de sanctions. Deux solutions s’offrent à l’employeur.

D’une part, il est nécessaire de mettre en place des conditions de travail adéquates. D’autre part, si le refus semble abusif, une procédure légale peut être entamée où le juge détermine si le motif apporté par le salarié est raisonnable ou non et si un salarié abuse de son droit de retrait.

Faire face à des refus de travail non autorisés

Si le salarié refuse d’effectuer une tâche qui entre dans son champ d’application délimité par le contrat, il est alors possible de discuter avec celui-ci.

Si cela n’aboutit à rien, le patron peut entamer une procédure de licenciement en apportant ce motif de refus de travail pour des tâches qui entrent dans sa qualification, voire même de faute grave. Tout refus de travail pour des tâches qui relèvent de sa fonction est un motif pour le patron d’entamer une procédure de licenciement et de la justifier éventuellement de faute grave.

Comment installer une véranda avec un mur plein ?

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Installer une véranda est une bonne idée pour gagner de la surface, mais aussi avoir une vue et un point d’accès vers l’extérieur. Pourtant quand on ambitionne de la faire construire sur un mur porteur, il convient de ne pas faire n’importe quoi et de faire appel à un professionnel.

Mur plein : est-il possible de faire installer une véranda ?

On choisit généralement un mur porteur sur la façade de la maison ou son pignon pour faire monter une véranda. Pourtant, il est important qu’un professionnel vienne valider la faisabilité du projet, notamment en venant examiner le mur, afin de voir quelle ouverture peut être faite. Une porte-fenêtre n’est pas toujours déjà présente pour faciliter ce travail.

Il va donc falloir créer une ouverture afin de se rendre se rendre dans la future véranda sans que cela fragilise l’ensemble de l’édifice, à cause de cette future construction d’extérieur.

Quand il faut abattre un mur porteur, parce que l’on veut une grande ouverture pour continuer une pièce, par exemple, il s’agit de trouver une solution de remplacement, comme la pose d’une poutre IPN, dont la portée peut être plus ou moins longue.

Quand ce problème est réglé et que la véranda a eu l’aval également de la mairie pour sa construction, il reste à déterminer dans quel matériau le propriétaire souhaite sa future véranda. Le choix est important notamment au niveau du temps qu’il pourra y consacrer.

Comment choisir le meilleur matériau pour sa véranda ?

Le fer forgé est difficile à chauffer et toutes les habitations ne sont pas faites par ailleurs pour accueillir un tel matériau, sans qu’il dénote.

Reste trois autres matériaux qui peuvent être choisis. Pour d’autres raisons ; dont celles de ne pas pouvoir prétendre à de grandes portées, sans nécessiter un renfort en métal, le PVC n’est pas non plus le matériau idéal.

Reste le bois, classique, chaud, indémodable, mais qui a besoin d’un entretien régulier, surtout quand la véranda est très exposée. Si le propriétaire l’envisage de grande taille pour gagner beaucoup de mètres carrés, il doit penser au temps (et à l’argent) qu’il devra consacrer à cet entretien qui passe par le biais de lasure ou de peinture, selon les goûts.

Prolongement visuel tout en beauté de maison, l’aluminium réussit le pari fou de séduire tout autant les propriétaires de maisons classiques et contemporaines. Elégant, c’est surtout un matériau qui ne demande pas d’entretien. La véranda sera juste là pour répondre aux besoins et aux envies, pas pour créer des contraintes.

Quitte à s’ouvrir sur le jardin, autant que cela soit avec de belles baies vitrées. Ces dernières peuvent s’ouvrir de plusieurs manières (coulissants classiques, à galandage ou en accordéon). Il ne faut pas oublier la toiture de la véranda.

Elle peut être pleine, mais le propriétaire peut également faire le choix d’une toiture entièrement ou partiellement vitrée, comme cela serait le cas pour une toiture diamant. Il faut alors faire attention à l’isolation, mais aussi au contrôle lumineux pour que la véranda ne devienne pas étouffante en été.

 

Déménagement d’entreprise : comment ça se passe ?

Déménagement

Parce que les locaux peuvent devenir trop petits, suite à un développement de l’activité, une entreprise doit songer à déménager. Cela peut être aussi pour gagner en visibilité. Un transfert de bureaux ne doit être pris à la légère et demande une bonne organisation.

Changement de local : quand et pourquoi contacter la société de déménagement

Dès que l’on est certain de devoir déménager, il vaut mieux se rapprocher rapidement d’une société de déménagement. En fonction de la taille de l’entreprise ou même de son activité, prévoir le transport de certaines machines-outils ne relève pas de l’improvisation. Il faut y échoir le bon nombre de déménageurs, mais aussi parfois des moyens techniques particuliers. Dans le cas d’une très grande entreprise, ce changement d’adresse doit être anticipé autant que faire se peut un an à l’avance. Quelques mois suffisent pour les structures de plus petite taille ; ne serait-ce que pour obtenir la bonne date de déménagement.

Les sociétés de déménagement sont elles-mêmes des entreprises. A ce titre, elles savent à quel point ce moment est redouté par l’entrepreneur ou le dirigeant. Pendant quelques jours, la productivité va baisser, voire être totalement stoppée. Les déménageurs, en travaillant rapidement et avec efficacité vont tout faire pour minimiser cette durée. La visite technique qui a lieu après le premier contact est le moment le plus opportun pour que les déménageurs prennent conscience des difficultés potentielles : machines très lourdes à porter, problèmes de stationnement etc… Cela doit être vu également à la future adresse.

Quelles sont les démarches à effectuer lors d’un transfert de bureaux ?

Comme pour tout déménagement, il faut prévenir un bon nombre de personnes et d’organismes que l’on change de lieu de travail. Attention si un bail commercial est en cours, pour les personnes qui ne possèdent pas leurs locaux. L’annonce du déménagement doit également être faite aux salariés. Pour certains, cela peut être une bonne nouvelle, car cela signifie un rapprochement de leur domicile ou encore de meilleures conditions de travail. Mais cela peut supposer également plus de trajets au quotidien. L’entrepreneur doit prendre cela en compte dans le coût que représente ce changement et trouver des solutions à leur apporter (aide aux trajets, mise en place d’un covoiturage…).

Fournisseurs et clients sont également à prévenir. Pour faciliter le travail des premiers, si le nouvel emplacement permet de continuer la collaboration, il sera judicieux de leur transmettre les nouveaux itinéraires possibles à emprunter. Quant aux clients, il ne faut pas sous-estimer l’importance que peut avoir un déménagement au niveau de la communication. Cela peut être le moyen de renouer des liens avec des clients un peu perdus de vue en les invitant à visiter la nouvelle boutique, de leur proposer une réduction sur une prochaine prestation etc… Les déménageurs ensuite, se chargent de tout. Pour savoir combien peut coûter un déménagement, en fonction des services demandés, mais aussi du type de véhicule à échoir et du nombre de kilomètres à parcourir, une demande de devis personnalisé s’impose.

Quelles sont les maladies héréditaires fréquentes chez le chien ?

maladie chien

Chez le chien, les maladies héréditaires sont nombreuses, plus de 300 sont actuellement répertoriées. Parmi ces maladies, quelques-unes sont très connues, on pense notamment à la dysplasie de la hanche chez le Berger Allemand ainsi qu’aux problèmes respiratoires touchant principalement les chiens à face plate. L’ensemble des races canines semble impacté, même si certaines sont davantage prédisposées.

La dysplasie de la hanche et la myélopathie dégénérative

Quiconque s’intéresse aux chiens aura entendu parler de la dysplasie de la hanche. Elle fait partie des maladies héréditaires les plus courantes et il n’est pas rare de voir un chien de grande race (Dogue Allemand, Berger Allemand, Doberman, Rottweiler, Boxer, Labrador ou encore Setter) en souffrir. Ce défaut congénital provoque des raideurs dans la démarche du chien ainsi que des boiteries et conduit bien souvent à une arthrose sévère. Cette maladie étant excessivement courante chez ces races de chiens, il est conseillé de surveiller le poids de l’animal dès ses premiers mois et de lui offrir un cadre de vie approprié.

La myélopathie dégénérative se caractérise par une faiblesse au niveau de l’arrière-train. Les fibres nerveuses étant touchées, le chien éprouve des difficultés à se tenir debout. Cette dégénérescence apparaît principalement chez un chien âgé et peut conduire à une paralysie. Certaines races sont plus sujettes à la développer, c’est le cas des Bergers Allemands, des Bouviers Bernois, des Corgis ou encore des Carlins.

Les maladies respiratoires et les problèmes intestinaux

Le syndrome brachycéphale touche principalement les chiens présentant un museau écrasé, tels le Carlin, le Bouledogue, le Pékinois ou le Shih Tzu. Ces chiens peuvent naître avec des anomalies du palais, des narines et des trachées et peuvent développer des tumeurs de la gorge ou des infections respiratoires.

L’intestin n’est pas en reste puisque plusieurs races présentent une fragilité intestinale, notamment le Berger Allemand et le Boxer. Ils peuvent alors contracter des diarrhées fréquentes. Un cadre de vie calme et une alimentation adaptée permettra de limiter les facteurs déclencheurs que sont souvent une allergie alimentaire ou une mauvaise nutrition conduisant à un déséquilibre puis à la destruction de la muqueuse. Le stress est également un facteur important à prendre en considération.

Les anomalies du système sanguin

La maladie de Willebrand et l’hémophillie A sont les anomalies les plus courantes du système sanguin et sont caractérisées par des complications au niveau de la coagulation.
La maladie de Willebrand empêchent la coagulation; les plaquettes sanguines ne peuvent alors plus se fixer. Les Setters, le Dalmatien, le Berger Allemand, le Rottweiler, le Doberman, le Labrador et le Golden Retriever font partie des races les plus souvent atteintes.
L’hémophilie A se transmet uniquement par les femelles. Il s’agit cette fois d’un défaut dans la coagulation, rendant tout saignement dangereux pour l’animal. Encore une fois, le Setter et le Berger allemand sont les plus exposés.

Les maladies héréditaires citées ci-dessus sont celles que rencontrent le plus souvent les propriétaires de chiens. Il en existe un grand nombre, touchant de nombreuses races et s’établissant à divers âges. Si certaines ne se manifestent qu’avec la vieillesse, d’autres peuvent être diagnostiquées dès le plus jeune âge, permettant ainsi de limiter les facteurs déclencheurs et instaurer un meilleur cadre de vie. Un dépistage est donc plus que recommandé afin de garantir une espérance de vie plus longue et de meilleure qualité à nos compagnons à quatre pattes. Toutes ses interventions médicales peuvent devenir coûteuses. Il existe des mutuelles santé animales qui permettent d’amortir les frais et de prodiguer les meilleurs soins à votre animal.

Pergola bioclimatique rétractable, est-ce possible ?

pergola

Dans la famille des pergolas, le modèle bioclimatique n’en finit pas de faire des émules et c’est normal. Qui n’aimerait pas profiter plus durablement de son extérieur, en toutes saisons, ce qui est rarement possible ? Les produits évoluent et se perfectionnent sans cesse, mais est-ce trop demander que de vouloir une pergola bioclimatique rétractable ?

Pourquoi vouloir une pergola bioclimatique rétractable ?

Sur le toit d’une pergola bioclimatique sont disposées des lames en aluminium, ce qui leur permet de ne pas rouiller, quel que soit le temps.

En fonction de l’ensoleillement, ces lames peuvent être orientées manuellement ou avec une motorisation, pour avoir le soleil ou l’ombre. Quand elles sont fermées, la pergola est protégée de la pluie, ce qui permet de laisser, en toutes saisons, du mobilier d’extérieur en place.

La rétractation des lames ; c’est-à-dire qu’on puisse les bouger vers l’avant ou l’arrière voire les séparer, pour en mettre une partie de chaque côté est tout à fait possible, pour pouvoir bronzer quand le soleil est positionné au-dessus de la structure d’extérieur ou simplement profiter du beau temps lors d’un repas en famille dehors sur la terrasse.

Le sens de la rétractation peut être déterminé lors de la demande de devis, en fonction de ce que le propriétaire préfère. Cela sera le moment de dire au professionnel quel type de pergola bioclimatique il souhaite faire poser chez lui.

Quelles sont les différentes sortes de pergolas bioclimatiques sur le marché ?

Si la pergola bioclimatique rétractable existe bel et bien, il faut décider si on la veut autoportante ; c’est-à-dire comptant sur ses quatre poteaux pour tenir debout ; adossée à une des façades de la maison ou encore suspendue.

Dans le premier cas, la pergola bioclimatique n’est pas obligée de se trouver aux abords directs de la maison. Elle peut être posée au beau milieu du jardin par exemple, pour créer une aire de repos ou un endroit atypique pour recevoir ses invités.

Dans les deux derniers cas, une étude préalable de la façade doit être réalisée par le professionnel qui ajustera alors l’ancrage de la structure. Même si l’aluminium est généralement choisi pour les différentes parties de la pergola pour son élégance, son absence d’entretien et sa légèreté, le poids au total peut excéder plusieurs centaines de kilos.

La fabrication se fait le plus souvent sur-mesure, pour répondre aux besoins des propriétaires. Ces derniers peuvent avoir envie de magnifier une toute petite cour. La pergola sera donc plus petite. Mais cette structure peut aussi se trouver en très grande taille quand elle sert d’abri de piscine ou encore se met au-dessus d’un spa pour des soirées romantiques ou des journées de détente, à se prélasser dans une eau chaude et bouillonnante pour se délester du stress quotidien.

La pergola bioclimatique, qu’elle soit rétractable ou non, peut changer la façon dont on voit et dont on vit dans son extérieur. La pluie ou le vent ne sont plus des freins pour cela, grâce à toutes les options qu’il est possible de rajouter.

La facturation est-elle obligatoire pour un taxi ?

Entreprise

Le métier de taxi est un choix judicieux car les personnes souhaiteraient pouvoir limiter l’usage de la voiture à titre personnel. Il est pourtant nécessaire de répondre à certaines obligations en termes de formation et aussi de facturation.

En quoi consiste le métier de taxi et quelles obligations en termes de facturation ?

Etre taxi suppose de transporter des personnes vers des destinations variées, en échange d’une rémunération.

S’il faut bien sûr posséder le permis et une certaine expérience de conduite, cette profession est soumise au passage d’une formation au terme de laquelle le chauffeur se voit remettre sa carte professionnelle.

Afin de garantir la sécurité des passagers, il doit posséder une formation de premiers secours et suivre, tout au long de l’exercice de son activité, des formations régulières qui visent à vérifier et valider l’aptitude au travail.

Chaque course est rémunérée, mais le taxi n’est obligé de fournir une facture à son client que si le montant est supérieur à 25 euros TTC. Ce montant, initialement était de 15 euros ; ce qui supposait beaucoup d’administratif pour ces professionnels.

Pourtant, il est bon de souligner que si la délivrance de facture n’est pas obligatoire pour un montant inférieur, un client peut en demander une. Le taxi sera alors tenu de la lui fournir, comportant les diverses informations utiles, comme son nom, le décompte détaillé de sa prestation, la somme à payer en HT et en TTC. Le nom du client peut y figurer si ce dernier donne son accord.

Comment avoir une facturation facilitée quand on est taxi ?

Ce type de factures doit être conservé par le professionnel pendant un délai de deux ans, avant qu’il puisse les détruire.

Un taxi peut faire le choix, afin d’augmenter son chiffre d’affaires, mais aussi varier son activité, d’être conventionné par la CPAM pour transporter des personnes malades sur leur lieu de soin. Un médecin traitant ou un spécialiste peut demander ce type de transport s’ils estiment que le patient n’est pas en état de conduire son propre véhicule.

C’est la CPAM qui se charge de rémunérer le taxi. Pour gagner en rapidité et en efficacité lors des tournées de clients, un taxi a tout intérêt à investir dans un logiciel de télétransmission. Cela permet, rapidement, de scanner les différents documents de la personne à transporter (documents médicaux), le prix de la course et de tout transférer de façon dématérialisée à la CPAM. Le paiement se fait donc plus vite et surtout s’il y a un problème, le professionnel peut en être averti dans les plus brefs délais pour gérer au mieux sa trésorerie.

En fonction des logiciels choisis (en savoir plus), la gamme de prestations peut être variée et très pratique : création d’un fichier client pour personnaliser au possible de transport des personnes malades, rationalisation et optimisation des trajets, prise en compte des facturettes de carburant pour la comptabilité etc…

Obtenir un conventionnement par la CPAM est relativement facile si le taxi a de l’expérience. Il suffit pour cela de contacter le service pro de cet organisme de santé et de faire les démarches.